08/02/2021
A l’origine prévus au mois de janvier au musée des Avelines dans le cadre de la programmation de l’exposition « La princesse Palatine (1652-1722), la plume et le Soleil », les concerts de Laure Vovard et Julien Coulon ont été filmés jeudi 28 janvier au coeur de l'exposition.
Ces captations réalisées au coeur de l'exposition "La princesse Palatine (1652-1722), la plume et le Soleil" offrent aux visiteurs qui ne peuvent se déplacer, deux concerts inédits dans l’intimité des salles d’exposition.
Ce projet a été réalisé grâce au soutien de l’association des Amis du musée de Saint-Cloud. Un travail en collaboration avec le conservatoire de Saint-Cloud ainsi que le service Manifestations a permis l’arrivée du clavecin dans les salles d’exposition. Merci également aux musiciens qui se sont prêtés au jeu du tournage dans une ambiance détendue !
« Dans l’antichambre du Roy », Julien Coulon (guitare, luth et mandoline baroques)
Premier prix de guitare classique, Julien Coulon explore l’univers des cordes pincées et se passionne pour les instruments anciens et orientaux. Il enseigne à l’ECLA de Saint-Cloud et intervient au musée de la Musique de Paris pour présenter ses nombreux instruments.
Le programme musical choisi pour ce concert résonne avec les goûts de la princesse Palatine et se compose de pièces baroques de Robert De Visée, Jean-Baptiste Lully et François Campion. Il retrace la vie musicale à l’époque de la princesse Palatine à la guitare et au luth, entrecoupé par des interludes à la mandoline.
« Une princesse haute en couleurs ! », Laure Vovard (clavecin)
Diplômée du Conservatoire National de Paris en 2001 Laure Vovard enseigne aux Conservatoires de Saint-Cloud et de Fontenay aux Roses. Elle est également accompagnateur au département de musique ancienne du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris.
De Louis et François Couperin à Jean-Baptiste Antoine Forqueray, ce programme musical du XVIIème au XVIIIème siècle propose un voyage dans le temps, à la rencontre de ces trois générations de virtuoses qui ont enchanté la cour et surement réconforté les heures plus ou moins heureuses d’Elisabeth-Charlotte de Bavière.